Vous êtes dans les embouteillages. Vous remarquez dans la voiture d’à côte une personne qui pleure au volant.
Peut-être vous demandez-vous pourquoi elle pleure ? A-t-elle perdu un proche ? Est-ce une déception amoureuse ? Un burn-out ?
En arrivant au bureau, cette personne ne pleurera probablement plus. Mais qu’en sera-t-il de son attitude vis-à-vis des autres ? Va-t-elle être aimable ? Enthousiaste ? Va-t-elle susciter la sympathie ?
Probablement pas.
Nous avons tous des raisons de craquer. Nous avons nos fragilités, nos peurs, nos croyances. Dans ces moments, nos réactions peuvent être disproportionnées, notre productivité baisser et notre engagement disparaître.
Et pourtant, dans ces moments de désarroi, il suffit d’un simple sourire plutôt qu’un regard désapprobateur pour nous motiver et redonner du sens à notre travail.
Avant de nous adresser à un.e collaborateur.rice en désarroi,
“Efforçons-nous de voir les choses du point de vue de notre interlocuteur.” Dale Carnegie
